Franck Carron

Voir ses oeuvres

Franck Carron, un homme peu banal…
Né le 9 février 1945 à Chamonix, fils d’un chauffeur routier et d’une cuisinière, le petit Franck a, très tôt, un joli coup de crayon. A l’école primaire, ses caricatures, paysages et dessins font déjà l’admiration de ses camarades et de ses instituteurs.
Excellent élève, il obtient son bac avec une des meilleures notes de la région Rhône-Alpes. A 18 ans, amoureux de la neige et grand sportif, il fait son service militaire au 93ème Régiment d’Artillerie de Montagne, section Haute Montagne. Ce qui le mène naturellement à devenir moniteur de ski. Franck intègre parallèlement les Arts Appliqués de Genève. Avec un solide bagage en poche et muni d’un sens artistique incontestable, il rejoint l’usine National Dunhill de Genève en tant que directeur adjoint en charge du design et de la fabrication des briquets et lunettes.
A 31 ans, un divorce traumatisant le déstabilise complètement… il quitte son travail, part, comme commercial, chez un oncle, fabricant de stores. Vite lassé, il retourne à ses amours maternels de cuisine et dans un esprit d’errance, se retrouve chef de brigade dans des grands hôtels – restaurants gastronomiques d’abord en Dordogne puis en Haute Savoie.
Au bout de 5 années, la gestion des ressources humaines en cuisine n’étant pas son dada, il quitte la grande restauration et gère un bar, puis un bar de nuit… Mais le monde de la nuit tente de lui manger son âme… il s’enfuit… pour se retrouver à Brive. Son gabarit et son caractère bien trempé lui ouvrent les portes de la fameuse équipe de rugby. Il y rencontre Patrick Sébastien, Serge Lama, C Jérôme…
A 36 ans, il décide enfin de se consacrer, à sa passion de toujours : la peinture. Il quitte Brive, part à Deauville et là, c’est le déclic. Tout de suite repéré par les plus grandes galeries (Spilliaert, Le jardin des Arts…) le succès est au rendez-vous.
Les succès s’enchainent : Honfleur, Paris, Suisse, Etats-Unis, Japon, Russie… les tableaux de Franck se vendent partout et forgent sa cote. Côtés internationnalement depuis 1985, ses tableaux sont des valeurs sûres.
En 1992, à 47 ans, Franck prépare l’exposition qui va bouleverser sa vie : à Uriage, pendant les JO d’Albertville, en une soirée, il vend 48 tableaux ! Un solide magot en poche, il décide d’ouvrir une galerie à Saint Tropez. Là, il fait la connaissance de Georges Lautner qui le présente au show-biz de l’époque : Johnny, Carlos, André Pousse, René Château, Henri Salvador… Sa bonne humeur et sa gouaille l’amènent à animer Radio Saint Tropez avec la même troupe de stars.
Courtisé par les frères Bartoux (Honfleur, Saint Paul de Vence…), il signe un contrat d’exclusivité qui lui assure une renommée mondiale et une tranquillité d’esprit. Mais en 2000, un accident de moto de son galeriste et un premier infarctus stoppent net cette belle aventure.
Franck retourne alors à Deauville et après une nouvelle peine de cœur, s’installe définitivement en Bretagne.
Depuis, il peint dans l’air pur Breton des sujets qui l’ont toujours inspiré. Il s’apprête aujourd’hui à explorer de nouveaux thèmes mais ça chuuuut, c’est encore un secret ! 

Irène Allary

Voir ses oeuvres

Irène ALLARY, une artiste au talent rare !
Née en 1953, Irène peint ses premières œuvres quelques années plus tard : portraits à
l’encre oxydée, paysages…
Bachelière, elle hésite entre médecine et Beaux-Arts… choix peu banal !
Suivant son mental et n’écoutant pas son cœur, Irène entame des études d’orthophoniste.
Elle exercera jusqu’à l’âge de 36 ans.
Des rencontres fortuites, un don qui la démange de plus en plus fortement font qu’en 1991, Irène expose publiquement pour la première fois à Gréoux-les- Bains, puis Manosque et devant le succès rencontré par ses œuvres, tout s’accélère :
1992 : exposition à Reims
1994 : Galeries Les Trésors du Vieux Vaison, Galerie Gaillard (Honfleur)…
1995 : Galerie de la Méditerranée (Saint Paul de Vence), expositions à Paris, Genève, Luxembourg…
1996 : Galerie Gaillard (Saint Rémy de Provence), Galerie de la Méditerranée
(Vallauris)
1997 – 2004 : Galerie Golden Art (Saint Paul de Vence), articles dans la presse spécialisée
(Arts Actualités Magazine…), expositions à Paris, Genève, Mégève…
2005 : Galeries Golden Art (Saint Paul de Vence), Le Blason (Ruoms), Accord
(Marseille)
2006 : Galeries Lefevre (Lyon), expositions à fernay-Voltaire, Le Puy-en- Velay…
Depuis 2013 : Galerie Blue Art et différentes expositions en France et dans les pays limitrophes.
Les tableaux d’Irène sont côtés internationalement depuis 2000.
Présente dans des collections privées en France, aux Etats-Unis, dans les Emirats Arabes Unis, au Japon, en Russie… Irène Allary est une véritable artiste au talent intemporel et universel.

Art Sacré Amazonien

Voir les oeuvres

L’origine
Regroupés au sein d’une association, des artistes chamans amazoniens indigènes réinvestissent leur culture ancestrale dans un travail de création en liaison avec les enseignements traditionnels. Ils sculptent les légendes, peignent leurs visions et donnent à voir l’Invisible au profane. Ce projet artistique et culturel est dédié à la préservation de la forêt amazonienne et de la culture des peuples indiens et ce, à travers l’art. L’inspiration de ces artistes chamans : la mythologie, les traditions et rituels séculaires ainsi que la biodiversité menacée de la forêt.
Ces artistes souhaitent sensibiliser le public aux cultures étonnantes et inconnues des peuples natifs et aussi informer les nations occidentales, par le biais de la réalisation artistique, des urgences économique et écologique que représentent les forêts ancestrales de la planète.
L’art sacré
Transes, méditations profondes, rites initiatiques et plantes rituelles ont amené les hommes, de toutes civilisations et de tous les temps, sur les chemins des mondes intérieurs, des mondes invisibles, peuplés d’esprits, de dieux et de démons.
Dans les pas des mystiques, les artistes de tous lieux et en tous temps – des pyramides aux cathédrales, sur les pierres des temples et les fibres naturelles – ont façonné leurs représentations symboliques , rendant visible à tous, l’enseignement des dieux.
Les plantes enseignantes de l’Amazonie révèlent aux initiés les fabuleux paysages de leurs forêts intérieures. Ces mondes enfouis, pleins de sagesse et de folie, nous parlent de nous, de nos peurs et de nos joies, des ombres et des lumières de l’aube de l’humanité, enfouies dans nos mémoires ancestrales.
Des sorciers malfaisants aux sages guérisseurs, les hommes en recherche d’eux-mêmes y découvrent des terres vierges et à peine explorées ; c’est ce cadeau de l’âme que nous offrent à voir les talents des créateurs contemporains de l’Amazonie. Les statues colorées de cet art premier, sacré et visionnaire sont réalisées dans la même intention que celle des bâtisseurs de cathédrales (autrefois colorées, bigarrées…) leur donnant ainsi la dimension symbolique de l’accès au sacré.
L’art sacré visionnaire
Loin d’un concept réducteur d’art brut, ces artistes s’inspirent des légendes traditionnelles et d’expériences spirituelles issues du contact avec les esprits de la nature. Ces œuvres d’art chamanique s’inscrivent dans une tradition aussi ancienne que l’humanité et réinvestissent les pratiques spirituelles traditionnelles, souvent méprisées ou en voie d’oubli. A la frontière entre l’animisme et une mythologie sacrée vivante, cet art atypique part en quête de la magie de l’imagination créatrice.
Un projet 100% artistique et 100% équitable
Dans un souhait de retranscrire l’Invisible dans le visible avec le souci de la qualité artistique, ce projet est appuyé techniquement par des outils (ciseaux à bois, pinceaux…) et des peintures de haute qualité en provenance de France. Il finance les peuples d’Amazonie afin qu’ils puissent protéger leur habitat tout en tirant un profit durable de la forêt. Les artistes engagés dans leur survie et celle de leur temple vert offrent 40% du bénéfice de leurs ventes aux projets locaux de reboisement et de sylviculture et en consacrent 20% à la promotion de l’art sacré vivant et à l’aide à la création. Les 40% restants leurs sont réservés dans le cadre d’un contrat d’art équitable.